Dosha(s)

Selon l'Ayurvéda, l'univers comme l'humain est constitué des 5 éléments qui sont :
  • Aakaash (l'espace)
  • Vayu (l'air)
  • Teja (le feu)
  • Jala (l'eau)
  • Prithvi (la terre)
Ces 5 éléments dialoguent à l'intérieur du vivant sous forme de force physiopathologique que nous appelons aussi "les doshas". En équilibre ces forces garantissent la santé mais lorsqu'elles sont perturbés, elles peuvent la détruire.

Découvrez les spécificités de chaque dosha à travers ces articles détaillés.

 


(Français) Ārtava – Les menstruations

(Français) Certains auteurs en Āyurveda expliquent même que grâce à ce phénomène, l’espérance de vie des femmes est supérieure à celle des hommes, l’une des fonctions du cycle menstruel étant d’éliminer les toxines (Āma) accumulées dans le corps et les déchets (Mala) de type Pitta.

(Français) Nava Vasanta – Le nouveau printemps

(Français) Nombreuses sont celles qui perçoivent les menstruations comme une maladie, mais les désagréments sont simplement la conséquence de comportements inappropriés répétés pendant de longues années. En réalité, il est possible d’atténuer ces inconforts en agissant sur Vāta qui le révélateur de ces désagréments, ceci indépendamment de votre constitution Vāta, Pitta ou Kapha. 

(Français) Avasthā – Les trois âges de la vie

(Français) Le Doṣa Kapha s’exprime de manière intense pour soutenir la construction de l’organisme et la croissance de l’enfant. L’onctuosité et la douceur de la peau des enfants témoignent de la présence prédominante de ce Doṣa.

(Français) Voyage et Āyurveda

(Français) Le mouvement est roi dans notre monde et il est aujourd’hui très facile de se déplacer d’un endroit à un autre. Pourtant, en Āyurveda le voyage est un facteur extérieur pouvant mener à un déséquilibre partiel de nos Doshas.

(Français) L’art de la sieste

(Français) Selon l’Ayurvéda, la sieste est un art qui a ses principes et qui, comme toute chose, s’adapte au contexte, à la personne et à l’espace. La sieste est appelée : Divāsvapna, ou sommeil de jour ou bien encore Akālaśayanā, le sommeil à contretemps, impromptu. Cette pratique peut être à la fois considérée comme un outil thérapeutique mais peut aussi s’avérer être nuisible si certains principes ne sont pas respectés.

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